On peut rire de tout, même de l’inexorable déchéance qui nous attend tous… Faute de pouvoir conjurer ces deux maux, il faut rire de la vieillesse et de la maladie. Sans se moquer, évidemment, des vieux et des malades que nous serons tous tôt ou tard. Molière ne se moquait pas des vieux, mais seulement des vieux cons (cf. Arnolphe dans l’École des Femmes). Il ne se moquait pas des malades, mais seulement des « malades imaginaires ».
Au répertoire de La Comédiathèque
Vieillesse
Maladie